Le pipi au lit est un problème que rencontre chacun de nos enfants. En tant que parents, il faut savoir comment gérer ce désagrément pour ne pas stresser l’enfant. Etre parent c’est aussi comprendre comment son enfant grandit, pourquoi tel ou tel comportement.
L’école de la vie commence ici, aidons notre enfant à évoluer et à rentrer doucement dans un monde d’adulte qui lui aussi possède son lot de désagréments.
Nous allons voir pourquoi et comment le “pipi au lit” est à prendre avec le plus grand sérieux. Nous verrons qu’il existe des méthodes simples à mettre en place pour limiter les risques. Des sites comme sphere-sante sont très bien conçus et vous apporterons bon nombre d’informations.
Sommaire
Quel enfant est concerné ?
Tous les enfants sont concernés. Ceci dit, 49% d’entre eux se situent entre 3 et 4 ans tandis que 15% sont concernés aux âges compris entre 5 et 7 ans. Le “pipi au lit” peut persister après 5 ans pour 3%. Les enfants en souffrent terriblement, c’est une réalité que chaque parent doit prendre en considération.
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Les adolescents ou pré-adolescents ne sont pas les seules à souffrir de ces désagréments. C’est une période compliquée pour ces jeunes adultes mais qu’ils soient rassurés, même nous, parents sommes contrains parfois d’avoir recours à des méthodes pour soulager notre bien être au quotidien. Des solutions comme des changes complets sont très faciles à mettre en place.
Quelles en sont les causes ?
A partir de cinq ans, cela porte un nom, “l’énurésie nocturne“. Les causes en sont nombreuses comme une production importante d’urine, petite vessie ou encore sommeil trop profond. L’enfant est à surveiller car les incontinences urinaires peuvent intervenir durant la journée.
Une énurésie secondaire est parfois possible ce qui signifie que l’enfant recommence à faire pipi au lit après une période d’arrêt.
Les causes peuvent être :
- Psychologiques comme un choc affectif, le divorce des parents ou encore un décès dans la famille. Ce phénomène peut disparaître et réapparaître après un choc psychologique brutal. Un trouble psychologique peu entrainer l’acquisition de l’autonomie.
- Mauvais fonctionnement de la vessie.
- Un sommeil trop profond, l’enfant peut rêver qu’il fait pipi.
- Une prédisposition héréditaire.
- Une malformation urinaire.
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Les solutions
Concernant les problèmes psychologiques, il ne faut surtout pas hésiter à en parler. Plus facile à dire qu’à faire car l’enfant a honte de ce phénomène, il se coupe de sa vie social en évitant d’aller dormir chez un copain par exemple. Le rôle des parents dans ce cas là est extrêmement important. Il faut instaurer un climat de confiance entre les parents et l’enfant pour qu’il puisse se confier en toute sincérité. Plus l’adolescent grandit, plus les conséquences sont importantes. Les professionnels de santé connaissent bien le problème mais il est vrai que l’enfant a du mal parfois à se confier à une autre personne qu’à une personne de sa famille.
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Un avis médical sera de toute façon nécessaire si l’enfant a un âge avancé (13, 14 ou 15 ans) mais il est certain que les parents ne doivent pas en faire une affaire d’état. Un dialogue construit dans un climat de confiance est souvent une solution durable.
- Parler à l’enfant, discuter en toute liberté avec lui, sans tabou
- Faire suivre l’enfant par un professionnel comme un psychologue
- Avis médical pour une solution à long terme. Il vous donnera des conseils pratiques
D’autres solutions pragmatiques
Des solutions d’ordre pratiques et simples pour le quotidien de l’enfant peuvent être :
- Eviter les boissons sucrées en fin de journée. Pas de soda ni d’eau pétillante.
- Pas de boisson à base de caféine comme le coca, café…
- Des sous-vêtements adaptés à l’adolescence. Des gammes de taille, de couleur et d’absortion sont disponibles.
- Alèses jetables en cas de refus de sous-vêtements.